Atterrissage !
Nouveau départ, nous montons presque plein Nord ! Le Koweït, l’Irak, la Turquie. Un moment les villes côtières scintillent dans la nuit. La Roumanie, la Hongrie, La Slovaquie, La Tchéquie, puis plein ouest au dessus de l’Allemagne en direction de Paris.
L’arrivée à Roissy se fait de nuit. Il pleut, et la température est proche de zéro ! Brrrr !
On
récupère les bagages, un « petit déjeuner » d’aéroport : seul le
prix est « copieux » ! Bonjour la France qui se réveille !
Il
nous faut attendre notre correspondance TGV pour Nantes. Plusieurs heures dans
une gare immensément haute, peuplée de courants d’air, à rester assis (chouette
une place disponible) sur des bancs en inox qui vous glacent autant le moral
que le « bas du dos ».
Dur dur
le retour !
Après
ce « rafraichissement » c’est une volupté de s’assoir à nos places
TGV dans la tiédeur relative. De la place pour les jambes. Aaaaah,
huuuuum !
Allez,
dans trois heures trente, nous serons à Nantes pour les retrouvailles avec
Simon, Maman Jeannette, et… Chanda !
Simon
est au rendez-vous.
Heureux de se revoir.
Petit tour par Saint Sébastien. Bonjour Mammy, bonjour Chanda.
Tout le monde en voiture (attention on roule à droite !) ; encore
une demi-heure et nous serons à la maison.
Nous
posons nos sacs, et c’est le vide qui s’installe : sonnés, KO debout. Le
manque de sommeil, le blues, la tension qui retombe d’un coup…
Envie
de rien, dodo pour une « petite sieste ». Attention au décalage
horaire : nous avons 10h à récupérer, et nous nous sommes laissé dire que
le calage se faisait d’une heure par jour. Dans dix jours nous serons
synchrones !
Nous
avons dormi deux heures. Petite collation, et couchés pour une bonne nuit… qui
se termine à minuit. Saleté de décalage !